Cotton City
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Quand les vampires ont leurs lois et les lycans font les leurs, qui peut bien régner sur Cotton City ?
 
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 Mathias Ammalric

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Mathias Ammalric
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Mathias Ammalric


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MessageSujet: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeJeu 16 Oct - 16:34

~ I.D. ~


Nom : Ammalric
Prénom :Mathias
Surnom :/
Date de naissance : 15 avril 1988
Lieu de naissance :New York
Âge : 31 ans
Âge en apparence :25 ans
Orientation sexuelle : Bisexuelle
Métier : barman, dealer
Race :Lycanthrope canin
Groupe :Satin Empire

~ INSIDE ~


Caractère :
On me dit insensible, indifférent aux affects d’autrui et il est vrai que ma nature désinvolte encourage cette vision. Suis-je égoïste ? Surement. Je n’en éprouve pas de honte, il est rare que je me remette en question pour quoique ce soit. Pour moi, dans la vie, c’est chacun pour soi et je suis assez individualiste. Ce n’est pas pour autant que je sois asocial, au contraire, j’aime être entouré, j’aime rire et je suis loin d’être de mauvaise compagnie, du moins quand je l’ai décidé. Par contre, mieux vaut m’éviter lorsque mon humeur est sombre car je peux me montrer extrêmement violent. Je ne connais pas la patience et la brutalité de mes mots et de mes gestes n’est tempérée d’aucune exception. Je n’éprouve pas de pitié pour qui que ce soit, je ne crois ni en l’amitié ni en l’amour et je suis incapable de m’attacher. Trop méfiant peut être, ou trop instable.

J’éprouve une profonde tristesse que je cache au plus profond de moi-même, une haine contre ce que je suis. Pourtant, je ne laisse jamais ces sentiments se deviner, ma carapace est solide et ma confiance en moi parait inébranlable. Mon mépris pour les humains est net et bien marqué, je suis rancunier et cette rage que j’éprouve pour eux brule toujours en moi. D’esprit macabre, la mort m’inspire, je suis souvent d’humeur poétique et mon art s’exprime par les musiques que je compose ou les textes que j’écris et où je sublime mes tortures intérieures. Mon imagination est parfois trop puissante et je la laisse souvent s’évader, me permettant ainsi d’accéder à un monde invisible dans lequel je pourrais sombrer si je n’y prenais garde. La folie me guette peut être mais c’est la seule chose que j’aime en moi.

Principale qualité :le courage
Principal défaut :l'impulsivité
Plus grande force :l'assurance
Point faible :l'orgueil
Sa fierté :la musique
Sa honte :l'animal en moi

~ OUTSIDE ~


Description physique :
D’une taille haute, je suis assez mince, je possède un corps aux muscles secs sans un atome de graisse. Ma nervosité me donne rarement un maintien immobile, ma démarche est rapide et mes mouvements assurés. Mon visage est fin, presque féminin et sous ma forme humaine, ma pilosité est presque inexistante. Mes yeux sont verts, parfois soulignés d’un trait d’eye-liner et si mes émotions y voguent bien souvent, c’est la seule partie de mon visage qui ouvre sur mon âme. Mon expression est hautaine, la plupart du temps, si un sourire orne mes lèvres, il se veut méprisant. En toute circonstance, je conserve cette même expression, volontairement indifférente, comme un masque de froideur qui ne me quitte jamais. Je porte les cheveux mi-longs, mes mèches brunes bouclant légèrement et effleurant mes épaules. Ma coiffure est généralement sauvage, libre comme je le suis.

Style vestimentaire :
Mes vêtements sont modernes, en général de couleur sombre, je déteste les tons trop criards. Ce que je porte met en valeur mon corps, sans doute par un certain narcissisme, j’aime les tenues moulantes, ou découvrant les parties tatouées de ma peau. J’apprécie, les jeans taille basses, tea shirt ou chemises courtes ainsi que les accessoires qui complètent mon look, comme des bijoux ou bonnets, j’aime soigner mon image.

Signes distinctifs :
Je possède des tatouages sur différentes parties de mon corps, des arabesques sur le bras gauche ainsi que sur le ventre. J’ai également plusieurs cicatrices sur le torse et une plus importante à la cuisse.

Ce qu’il traîne toujours sur lui :
Mon paquet de clopes et mon briquet.

~ TASTE ~


Ce qu’il aime :Ma guitare et ma moto, la musique que je joue et mes rêves qui me permettent de m’évader.

Ce qu’il déteste :Les humains, les moralisateurs, les gens coincés

Ce qu’il craint :Me retrouver enfermé, je suis légèrement claustrophobe

Ce qu’il pense de la politique d’Ezéchiel Manfield :ce type n’était qu’un pauvre naïf trop idéaliste. La paix entre les races est impossible, jamais nous ne pourrons cohabiter ensemble. Je déteste ce genre de discours niaiseux qui prônent de belles images toutes faites. Et je ne veux pas proclamer mon statut au grand jour, il ne regarde personne d’autre que moi-même.

Ce qu’il pense de son groupe :Ce sont des salauds, comme moi, ça tombe bien. Il faut savoir tirer son épingle du jeu et profiter du chaos intelligemment. J’aime cette atmosphère de violence et de destruction que les satiners dégagent et j’aime le fric.

Ce qu’il pense des différents groupes ennemis :Je déteste les godiches de la Guiding Light Church, leur morale et cet amour si écœurant. Tellement niais qu’ils en sont risibles, le genre de personnes que j’aime choquer en exagérant ma violence et ma haine. En ce qui concerne les vampires et leur prétendues supériorité, je les place tous dans le mêmes sac, de pauvres débiles si imbus d’eux même qu’ils n’en sont que trop faciles à berner, tellement habitués à être flattés qu’ils en deviennent aveugles. Et bien évidemment, les adeptes de la Vox Purifica sont mes plus grands ennemis, les seuls qui ne me font pas rire car ils me rappellent des passages difficiles de mon passé.

~ STORY ~


Histoire :

Mon enfance...


~*Ce n’était que toi, mère, et entre tes crises délirantes, je t’aimais.*~

~*Le souvenir d’un instant de grâce…celui de ce jour où tu m’a offert ton sourire. Je n’étais plus ce batard, ce sale gosse bon à enfermer au grenier de notre taudis des heures durant. Pendant une minute, j’ai vu mon reflet dans tes yeux et j’étais ton fils. Ce soir là, le soleil ne s’est pas couché et a continué à briller au dessus de moi. Par le baiser de ton âme, j’ai oublié la froideur de ces nuits sombres qui me couvrent de l’angoisse du vide, de cette solitude qui m’effraie... Ton regard m’a réchauffé, cet éclat qui y vivait était l’étoile du matin que j’ai recherché toute ma vie. A présent il ne flotte plus que dans l’ombre de mes pensées.*~

~*Maintenant le voile posé sur tes yeux est permanent, il déforme la réalité et me fais voir comme ton ennemi. Tu dis me haïr, tu me souhaite la mort et la souffrance, comment des mots si cruels peuvent sortir de ta bouche ? Saches que tu m’as tué tous les jours et au-dedans je suis mort depuis des années. Les couches de peine se sont superposées pour envahir tout mon espace vital et ne plus rien laisser. *~

~*La malédiction qui fut jetée sur moi m’écrase comme un fardeau plus lourd que le monde. Ainsi sera mon destin, condamné à l’indifférence en tous lieux, tel que tu l’as voulu pour moi. Tu l’as dit, je n’aurai pas du exister, ma naissance fut une erreur et je ne suis qu’un être transparent, vide, inexistant. Tu tiens mon cœur dans ta main crispée et ma vie dépend de chacun des souffles que tu émets. Si j’avais existé pour toi, j’aurais pu exister pour les autres mais je suis soumis à ton emprise. Sans ta reconnaissance, je ne suis rien. J’aimais mieux encore ta haine qui me rendait vivant, je souffre de ton indifférence qui me fait disparaître. *~

~*Le couteau se lève et perce ma peau, la chair se fend dans un déchirement muet pour ouvrir les portes de mon âme. Cette souffrance s’écoule au dehors avec mon sang et je le regarde, je le regarde… Sa couleur est violente et la douleur prouve mon existence, j’avais fini par croire que je n’étais qu’un rêve éthéré qui flottait entre deux mondes. Mon sang est la plus belle chose qui m’appartient, je voudrais en recouvrir les murs, en inonder la terre. Mon cœur est une source d’où jaillissent les fleuves et les rivières, s’il explose il pourrait recouvrir le monde entier et couler jusqu’à la fin des temps*~

~*Les vieilles entailles qui recouvrent mes bras sont purulentes, à l’image de mon intériorité désastreuse. Lorsque j’extrais ce liquide jaune et visqueux, je me vide du Mal qui souille mon être. Je ne suis pas comme lui. Je ne suis pas comme toi. Je ne suis comme personne. Je ne suis personne. Je voudrais oublier tout ça, t’oublier… mais jamais on ne peut oublier celle qui nous as fait naitre. *~

~*J’accepte mon destin désormais et je reste silencieux. Même si pour toujours je n’aimerai que l’impossible, je ne l’espère plus. Je me contente de respirer et de laisser passer les jours sans plus rechercher ce qui ne sera jamais pour moi. L’obstination s’arrache de mon corps pour m’abandonner au lâcher prise et je vole…*~


Je refuse à présent de me laisser aller ç de telles pensées. A dix ans j’ai été arraché à ma mère par les services sociaux. J’étais jeune, trop sensible mais le choc de ce jour m’a transformé. Le lâcher prise… Désomais je n'éprouve plus qu'indifférence moi aussi. Ce jour, j’ai capturé mon prénom, il était devenu le symbole de mon identité et de mon envie d’exister, je ne supportais plus les surnoms que ma mère m’infligeait ni ses brusques changement d’humeur. Mes disputes avec elle devenaient trop violentes, elle me battait, s’excusant le jour suivant, mélangeant alcool et drogues et confondant mirages et réalité. Devant l’une de mes révoltes, elle s’arma d’un couteau et grava la première lettre de mon prénom dans ma chair, j’en garde encore les traces aujourd’hui sur mon torse… Punition contre mon insolence, j’exigeais mon prénom, elle me l’offrait.

Devant le danger, l’assistante sociale me plaça chez une vieille tante acariâtre pendant que ma mère entrait à l’hôpital psychiatrique. Persuadée que mon insolence et mon sale caractère devaient être brisés, cette femme m’inondait de ses préceptes moralisateurs jusqu’à l’écœurement. Néanmoins, elle m’offrit la stabilité dont un enfant a besoin pour s’épanouir, elle me traitait correctement, essayant tant bien que mal d’éduquer ce garnement à la scolarité si chaotique.... Vivant loin de ma mère, j’ai pu l’idéaliser, j’avais mal de la détester et j’étais soulagé de reporter cette haine contre ma tante. La tristesse que j’éprouvais étant enfant laissait place à mes idées machiavéliques de rébellion et je m’amusais des farces commises contre ma tutrice. Mon imagination me suffisait, malgré ma solitude, pour me créer des amis imaginaires et je me réfugiais souvent dans ce monde invisible, nommant les ombres et parlant aux rayons de lune.


Mon adolescence


Je fuguais régulièrement, parfois pendant plusieurs jours, séchant les cours au lycée, volant aux étalages de quoi manger et dormant dans les buissons de central parc. J’avais développé pas mal de phobies à cause de mon enfance, et l’idée d’être enfermé me stressait, aussi j’aimais dormir dehors et sentir le vent effleurer mon visage. Cela ne me dérangeait pas. Bien sûr, dans le milieu des gosses de la rue, les plus grands me battaient pour me voler, c’était la loi de la survie mais ma fierté me poussait à me défendre et ne pas me laisser faire malgré ma faiblesse. Je parvins à rentrer dans une petite bande de dealers, ils respectaient mon courage et riaient de mon assurance. Je les aidais tant que je pouvais, faisant de petites courses pour eux et en échange, ils m’offraient leur protection. Grâce à cela, je développais d'autant plus mon assurance, me forçant à me frotter aux autres malgrè mon manque d'habitude sociale. Fréquenter les durs à cuire du quartier me valorisait.

J’ai appris à fumer très tôt et pas que des clopes. Seulement j’ai toujours fait attention à ne pas sombrer dans la drogue, je n’avais aucune envie de finir comme ma mère, j’avais bien trop peur de lui ressembler. Je la voyais parfois de loin, je la surveillais sans qu’elle s’en aperçoive, parfois même, je lui déposais de l’argent dans sa boite au lettre, je savais qu’elle avait laissé tomber son travail de caissière depuis longtemps… J’étais naïf à l’époque, assez bête pour m’inquiéter pour elle. Elle avait trouvé un autre job pour se payer sa coke, elle faisait le trottoir. J’étais un fils de Putte et le choc de m’apercevoir de cela m’a fait perdre la raison.

Je revois encore le flingue dans ma main fumer et le mac au sol, le crâne explosé par la balle et la cervelle sanglante sur le trottoir. Mon premier meurtre et j'avais à peine quinze ans.... Ma mère avait perdu son employeur et moi, ma liberté.

Je suis resté dans un centre de redressement pour mineur jusqu’à ma majorité et on ne peut pas dire que ce séjour m’ait fait retrouver le droit chemin, au contraire. Moi qui n’était qu’un illettré, j’appris difficilement à lire et à écrire, je ne manquais pourtant pas d’intelligence mais ma nervosité et mon impatience me desservaient. Bien sûr j’ai également appris pas mal d’autres trucs, entre autres que j’aimais les garçons et que je pouvais obtenir bien des choses avec mon corps. Après tout, ma mère le faisait bien alors pourquoi pas moi. Je n’avais plus aucun respect pour moi-même à l’époque et je me haïssais.

Le baston était l’une de mes activités favorites pour me défouler, j’aimais créer la discorde et causer le trouble rien que pour emmerder les gardiens. Il faut dire que je ne supporte pas l’autorité de qui que ce soit. Grâce à cela, je me suis taillé une bonne réputation de dur dans le milieu, ce qui était une bonne chose. Par contre, les gardiens me détestaient et je peux dire que j’ai mangé ma part de coups. Les passages à tabacs étant fréquents. Pourtant, la pire des choses était l’enfermement au trou, j’avais l’impression d’étouffer et je mourrais à petit feu.


Dernière édition par Mathias Ammalric le Jeu 16 Oct - 23:26, édité 9 fois
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeJeu 16 Oct - 16:34

L’âge adulte


J’avais 18 ans, enfin libre, et je n’avais pas un sous en poche. Pourtant, je m’étais fait des relations en taule, le frère d’un copain tenait plusieurs bars et il avait besoin de serveurs de confiance. Je travaillais donc pour son gang, les tripots, les bordels et la contrebande de drogue faisaient leur fortune. J’avais besoin de me laver des tortures de mon passé, ma mère était morte et j’étais prêt à démarrer une nouvelle vie. C’est à cette époque que je me suis fait faire ces tatouages, pour symboliser ma renaissance, comme le serpent je changeais de peau. J'ai également développé ma passion pour la musique et mes dons pour jouer de la guitarre. J'évacuais toutes mes frustrations par mes compositions, et les notes s'envolaient avec mes rêves.

Les années défilèrent, tout était parfait, j’avais un bel appartement et j’avais pu me payer la moto dont j’avais toujours rêvé. Pourtant j’avais envie de voyager, je n’avais aucune attache, alors pourquoi pas découvrir le monde ? C’est ainsi que je parcourais les Etats Unis sur ma Harley, profitant de mille paysages, vivant de petits job sans jamais m’éterniser nulle part. C’est dans un bled dont j’ai oublié le nom que j’ai rencontré Greg, un type au charme étrange qui semblait se foutre de tout. J’aimais son humour et sa façon de voir le monde. Pour une fois, je ne me lassais pas de la présence de quelqu’un et je l’ai embarqué avec moi sur les routes. Nous étions deux bandits, braquant les honnêtes gens et semant la panique sur notre passage. Jeunes, insouciants, le monde nous appartenait.

Pourtant, Greg disparaissait certaines nuits sans me dire où il allait. Il revenait extrêmement fatigué de ces sorties nocturnes, ses vêtements déchirés et sa peau tachée de sang. Mes questions demeuraient sans réponses et nos rapports devinrent houleux. Si je vivais avec un psychopathe, tueur en série, je m’estimais tout de même en droit de le savoir ! Une nuit donc, je décidais de le suivre à son insu et je fus témoins de sa monstrueuse transformation sous la lueur de la pleine Lune. Je ne parvenais pas à croire en ce que je voyais et je restais tétanisé, incapable de bouger devant ce loup-garou…

Lorsqu’il se jeta sur moi, la gueule béante, j’hurlais son prénom alors qu’il me mordait cruellement à la jambe. Je ne sais ce qui le retint de me laisser la vie sauve, une hésitation dans son regard me laissa croire que sa raison ne l’avait pas totalement abandonné. Je ne revis plus jamais Greg après cette nuit, je m’étais évanoui, gisant dans une marre de sang dans cette rue déserte. Je me réveillais à l’hôpital, où je fus pris de fortes fièvres durant plusieurs jours. Ce fut à ce moment là que le discours d'Ezéchiel Manfield fut prononcé et que je découvris la malédiction qui était mienne désormais. Je le vécu extrêmement mal. Je ne pouvais supporter d’être rabaissé au rang d’un animal, de perdre mon identité, de ressembler à la description que ma mère avait toujours fait de moi. Une bête sans conscience.

Au vu de ma morsure et des explications que je leur fournis sur mon agresseur, les médecins jugèrent bon de m'envoyer dans la section psychiatrique avant que la pleine Lune ne me transforme en bête féroce. En effet, les chambres capitonnées étaient les plus propices à contenir ma rage et ma force surhumaine... Je souffrais autant physiquement que psychologiquement, je ne supportais plus d’être enfermé, ma claustrophobie me rendait agressif et l’étiquette de caractériel me fut bien vite posée sur le front. De plus, je fus jugé coupable de mes crimes passés et la ville s'organisa très vite pour concevoir une cellule de prison apte à enfermer des lycans...

La vie au pénitencier était encore pire que ce que j’avais connu durant mon adolescence, la violence était mon quotidien. Malgré les vues utopistes du maire, cela n’empêcha pas mes compagnons de cellule de me mener une vie d’enfer, et lors des nuits de pleine lune, j'étais enfermé au trou. Durant mes 6 ans d’enfermement, je fus considéré comme un monstre et traité de la pire des manières par les humains prisonniers avec moi ainsi que par les gardiens. J’en développais une haine tenace et à ma sortie, je me sentais souillé et détruit intérieurement. Je découvrais une ville en plein chaos et c’est dans cette jungle que je décidais de rester, mon objectif était de retrouver Greg et de lui faire payer ce qu’il m’avait fait.

Je savais qu’il était originaire de Coton City, peut être pourrais-je interroger des gens qui m’aideraient à le retrouver. De toutes manières, je voulais rester là, dans cette ambiance guerrière qui me correspondait tout à fait. Ma vie nocturne était propice aux rencontres intéressantes et c'est ainsi que je décidais de m'associer aux mafieux du coin. Le mileu criminel a toujours été le mien, il est donc logique que je m'y sente comme chez moi. En quelques mois, j'ai fait de ces quartiers sombres les miens. Je travaille désormais pour le compte des Satiners. Bien que j'aurais préféré faire cavalier seul, je suis assez sage pour profiter de l'appui d'un gang déjà bien organisé.


~ YOU ~


Nom/Surnom :Jason
Âge :26 ans
Avatar : Ville Valo
Niveau de RP :Bon
Fréquence de connexion : 5/7
Votre avis sur le forum :un contexte original et attractif, une belle présentation et des textes soignés et agréables.
Comment avez-vous connu Cotton City :Par un top site
À qui les codes ont été envoyés :Zaphir d'Erymanthe


Dernière édition par Mathias Ammalric le Ven 17 Oct - 11:02, édité 2 fois
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeJeu 16 Oct - 18:07

Bonjour, bonjour !
Et bienvenu à bord...


Pour commencer, comme dit en MP, il manque un code... Mais je ne doute pas que ce détail sera bien vite règlé ^^

Cette fiche maintenant... Du point de vue de l'écriture et de l'histoire générale, j'ai vraiment aimé.

Je trouve les débuts de votre personnage tellement difficiles qu'ils en sont presque irréalistes. Est-il possible pour un enfant de 12 ans de se retrouver seul à la rue dans les années 2000 ? Mais plus encore : D'où peut donc lui venir cette rage de vivre aprés une telle enfance ?
En fait, le tout devient crédible à partir du moment où il entre en centre de redressement. A ce propos, j'adore ce bref passage :
"Je revois encore le flingue dans ma main fumer et le mac au sol, le crâne explosé par la balle et la cervelle sanglante sur le trottoir. Mon premier meurtre et j'avais à peine quinze ans.... Ma mère avait perdu son employeur et moi, ma liberté. "

Finalement, la fin de votre histoire pose une bonne question à laquelle nous n'avions pas songé :
Avant Ezéchiel, comment pouvait bien se dérouler l'incarcération d'un lycan ? Comment se fait-il que ses compagnons de cellule n'ont pas fini en charpie les nuits de pleine lune ?
C'est une question à laquelle nous devons réflèchir... Je vais voir cela avec mes collègues ^^

Pour finir, j'aimerais revenir sur deux passages que je trouve particulièrement beaux et qui méritent d'être soulignés :

"nommant les ombres et parlant aux rayons de lune" ; "et les notes s'envolaient avec mes rêves."

Bref, tout ça pour dire que je vais étudier votre cas avec mes chers co-admins en attendant de recevoir le dernier code manquant ^^
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeJeu 16 Oct - 19:23

je vous remercie^^ Je vais chercher le dernier code et je retravaille ma fiche afin de rendre mon histoire plus cohérente Smile

EDIT : voilà, j'ai totalement refait l'enfance et le tout début de l'adolescence. Je développe mieux le caractère dans l'histoire. J'espère que vous aimerez davantage ^^
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeVen 17 Oct - 7:40

Dernier code bien reçu ^^

Eh bien ! Quel agréable changement !... Autant j'aimais le premier jet, autant cette fois c'est de l'Art ! Un plaisir pour les yeux, vraiment ^^

Une dernière petite gène subsiste pourtant dans mon esprit... Le fait qu'il est été incarcéré avant la révélation de l'existence des créatures de la nuit.
Comment cela se peut-il ?... Je suis bien consciente que ce détail relève aussi d'une faille de notre back ground, mais du coup, la fin de votre histoire perd en crédibilité scratch
S'il se transformais en cellule, n'aurait-il pas tué tout ceux qui se trouvaient à portée ? Cela n'aurait-il pas été découvert des gardiens qui en auraient avisé la presse ? ... Finalement, de tels cas auraient tôt fait d'ameuter l'opinion.
Mais je me pose une autre question : Les prisons ne sont pas prévues pour un être à la force surhumaine. Donc finalement, si un prisonnier lambda se transforme, il serait logique qu'il réussisse à s'évader.

Bref, pour coller au plus prêt à votre histoire, il faudrait qu'il soit incarcéré aprés la révélation des créatures, ainsi des dispositions sont mises en place, tel l'isolement des lycans dans des cellules individuelles et spéciales. Car rappellons aussi que chez nous ils peuvent se transformer à volonté...
L'histoire en elle même tient bien sur la route, mais elle tombe à ce moment dans une faille à laquelle nous n'avions pas songé... Si vous pouviez juste changer cela, je vous validerais avec plaisir ^^
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeVen 17 Oct - 11:12

Je vous remercie, ravi que cela vous plaise Smile

J'ai changé l'histoire à partir de la morsure. La révélation se fait lors du séjour de Mathias à l'hôpital et avant qu'il n'ait pu se transformer en loup et donc, les médecins ont le temps de prendre des mesures. Par la suite, il est envoyé en prison et, en toute connaissance de cause, les gardiens l'enferment à chaque pleine lune.

(J'imagine qu'un jeune lycan est incapable de se transformer à volonté en dehors de la pleine lune, est ce exact? Autrement, Mathias serait enfermé au trou toutes les nuits, durant ses 6 ans d'incarcération)

J'espère que cela vous convient Wink
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeVen 17 Oct - 17:50

Cette fois, tout est parfait...

Validé, pour mon plus grand plaisir, je l'avoue ^^
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitimeVen 17 Oct - 18:34

Merci Zaphir Very Happy
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MessageSujet: Re: Mathias Ammalric   Mathias Ammalric Icon_minitime

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